les "Armes" de detection massives
l'homme a toujours voulu découvrir des planètes nouvelles dans notre système solaire, et également en dehors.
Pour cela au depart par observation depuis le sol et imagerie directe, puis comme avec les moyens de l'époque les choses étaient impossible, ils ont chercher des moyens indirects comme l'astrometrie.
Cette méthode consiste à mesurer le déplacement de l'étoile sous l'influence de planètes : si celles-ci sont suffisamment massives, l'étoile, vue par l'observateur, a un mouvement apparent du à son déplacement autour du centre de gravité de l'ensemble étoile-planète, mais là encore à l'époque les moyens ne sont pas assez evolués pour permettre ce genre de découvertes.
C'est en 1994 que sont détectée accidentellement deux planètes en voulant mesurer la périodicité des émissions radio de pulsars.
La première détection par la méthode des vitesses radiales est obtenue en 1995 par les astronomes Michel Mayor et Didier Queloz de l'Observatoire de Genève.
Mayor et Queloz détectent plusieurs planètes de la taille de Jupiter orbitant à très faible distance d'étoiles naines. Ces découvertes remettent en cause le modèle de formation des planètes déduit des caractéristiques de notre système solaire et peut être également le caractère universel des planètes telluriques. Elles accroissent l'intérêt de projets de détection d'exoplanètes.
Vitesse radiale = HARPS et ELODIE en 1989
Transit = à partir de 2002 COROT, KEPLER, TESS, PLATO.
Imagerie = SPHERE en 2004
Lentille gravitationelle = WFIRST en 2004
Astrométrie = GAIA en 2013